Le président sortant de RDC rejette les accusations de corruption portées contre ses proches. Joseph Kabila demande des preuves.
« Je crois probablement que les auteurs de ces rapports vivent sur une autre planète, qui n’est pas cette planète. N’hésitez pas à me donner le nom de ces membres de la famille », a récemment répondu Joseph Kabila à BBC.
Une réponse qui résonne comme un défi lancé par le président de RDC à ses « détracteurs » parmi lesquels Bloomberg. En 2016, l’agence américaine spécialisée dans l’information économique et financière accusait le dirigeant et sa famille de s‘être bâti un « réseau d’entreprises ».
Lequel réseau « s‘étend dans tous les secteurs de l‘économie congolaise et qui a rapporté des centaines de millions de dollars à leur famille ».
Mais, pour Kabila, ce sont des faussetés. « Savez-vous quel âge ont mes enfants pour qu’ils aient des droits miniers ? C’est là que la bêtise commence, permettez-moi d’employer ce mot. J’espère qu’un jour, quelqu’un trouvera quelque chose de tangible au lieu d’être des allégations de gauche à droite », a répondu le « raïs », comme l’appellent ses fidèles.
S’agissant de son avenir politique, l’actuel locataire du Palais de la nation a promis de céder le pouvoir au vainqueur de la présidentielle du 23 décembre. Laquelle selon lui devrait être libre, transparente et apaisée.
Mais, la réalité semble déjà déjouer l’optimisme du président sortant. En témoigne les violences qui ont fait ce mardi à Lubumbashi deux morts dans les rangs de l’opposition.
« Je crois probablement que les auteurs de ces rapports vivent sur une autre planète, qui n’est pas cette planète. N’hésitez pas à me donner le nom de ces membres de la famille », a récemment répondu Joseph Kabila à BBC.
Une réponse qui résonne comme un défi lancé par le président de RDC à ses « détracteurs » parmi lesquels Bloomberg. En 2016, l’agence américaine spécialisée dans l’information économique et financière accusait le dirigeant et sa famille de s‘être bâti un « réseau d’entreprises ».
Lequel réseau « s‘étend dans tous les secteurs de l‘économie congolaise et qui a rapporté des centaines de millions de dollars à leur famille ».
Mais, pour Kabila, ce sont des faussetés. « Savez-vous quel âge ont mes enfants pour qu’ils aient des droits miniers ? C’est là que la bêtise commence, permettez-moi d’employer ce mot. J’espère qu’un jour, quelqu’un trouvera quelque chose de tangible au lieu d’être des allégations de gauche à droite », a répondu le « raïs », comme l’appellent ses fidèles.
S’agissant de son avenir politique, l’actuel locataire du Palais de la nation a promis de céder le pouvoir au vainqueur de la présidentielle du 23 décembre. Laquelle selon lui devrait être libre, transparente et apaisée.
Mais, la réalité semble déjà déjouer l’optimisme du président sortant. En témoigne les violences qui ont fait ce mardi à Lubumbashi deux morts dans les rangs de l’opposition.
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